Tableau de Tehos acrylique et marouflage sur toile 80*80 cm
Dès l’époque coloniale, le roi d’Angleterre utilisait le rêve américain pour stimuler l’immigration et le peuplement de l’Amérique du Nord. Ils vantaient l’immensité du territoire, synonyme d’opportunités quasi illimitées. Cependant, les migrants des XVIIe et XVIIIe siècles trouvaient bien souvent des conditions de vie difficiles lorsqu’ils arrivaient en Amérique.

La Révolution américaine fait progresser l’idée du rêve américain. Dans la Déclaration d’indépendance de 1776, la « poursuite du bonheur » figure parmi les droits inaliénables de l’Homme, à côté de la liberté et de l’égalité.

De nombreux Américains ont réussi à s’enrichir au cours du XIXe siècle, à force de courage et d’esprit d’entreprise (Andrew Carnegie, John D. Rockefeller). Des centaines de milliers d’Européens quittent à cette époque le Vieux Continent pour échapper aux persécutions religieuses (Juifs d’Europe de l’Est), à la pauvreté (Italiens) ou à la famine (Irlandais).

L’expression « rêve américain » est utilisée pour la première fois par James Truslow Adams dans son livre The Epic of America (1931). Elle signifie alors l’accès aux libertés fondamentales et l’ascension sociale par le mérite. »

( Source Wikipedia )

Incontestablement l’Amérique et son rêve ont influencé, modifié le monde et notre façon de vivre.

Elle assoit, sa domination sur notre civilisation, et ressort grand vainqueur du monde bipolaire des années 1970, avec l’effondrement du bloc communiste soviétique.

Son influence sur la société de consommation telle que nous la connaissons aujourd’hui est indiscutable. Tout le monde connait les marques phares de ce pays ( Coca cola, Pepsi, Heinz, Mc Donald etc.. )

Cette suprématie se fait sentir jusque dans les dernières évolutions de notre époque. La révolution numérique à laquelle nous assistons depuis les années 1970 ne fait pas exception a cette règle. Qui ne connaît pas Ibm ou Microsoft ?

De Google, à Yahoo en passant par eBay, ou Amazon, Facebook, tous sont nés sur le nouveau continent.

Mais ce développement rapide et spectaculaire ne se fait pas sans heurts, dommages directs ou collatéraux. L’Amérique a ses failles béantes, ouvertes et parfois sanglantes.

Assassinats, guerres, extrême pauvreté, manipulations, tortures, violences, crises, sont les plaies quotidiennes de ce pays à la façade si propre et étincelante.

Aggiunto il 23 mar 2010